Une préparation psychologique

Il est possible de se procurer un kit de test de paternité. Néanmoins, il est préférable d’acheter le kit et de faire l’analyse ADN auprès d’un organisme sérieux et professionnel comme ici. La fiabilité du laboratoire qui a réalisé le test de paternité est fondamentale dans la mesure où les impacts psychologiques de la conclusion du test peuvent être énormes. C’est aussi à cause de ces impacts qu’une préparation psychologique est nécessaire pour les deux parties. Un rendez-vous chez un psychologue (et éventuellement un pédopsychiatre pour l’enfant) peut même être une initiative judicieuse. Une fois la conclusion du test rendu, si la paternité est confirmée, il serait bien de suivre une thérapie familiale.

Vigilance au niveau légal

Pour être légalement valable, un test de paternité doit être réalisé selon une procédure prévue par la loi. Un test réalisé en dehors de cette démarche légale n’aura donc aucune valeur légale. De plus, un test effectué sans le consentement de l’une des deux parties est totalement illégal. Il importe de prendre en considération ces deux points avant de se lancer sur la voie d’une recherche d’un lien de filiation. Notamment, il est possible de faire le test si tout le monde est d’accord. Une décision concertée met à l’abri de toute procédure légale. Pour parvenir à un accord entre les deux parties, il faut de la diplomatie et une bonne communication.

Les règles et modalités d’installation

Le Code de la santé publique exige des médecins qu’ils garantissent la sécurité de leurs patients. Cette règle vaut tant pour le traitement que pour le lieu d’implantation du cabinet. Un cabinet médical doit toujours être installé dans un lieu sécurisé, visible et accessible à tous. En outre, il doit comprendre une salle d’attente, une salle de consultation et des toilettes. Ledit Code impose que le cabinet soit implanté sur une surface d’au moins 17 mètres carrés. Pour la pièce de consultation plus particulièrement, celle-ci doit être équipée d’un lavabo. Il s’agit ici de conditions générales que doivent respecter tous les cabinets médicaux. Cependant, si le médecin exerce en tant que spécialiste (dermatologue, gynécologue, ostéopathe ou dentiste), d’autres conditions d’implantation viennent compléter les règles générales.
Pour ce qui est des modalités d’implantations, plusieurs paramètres doivent être étudiés à l’avance. Tout d’abord, concernant le lieu d’établissement, il faut prendre en considération les conditions démographiques locales, la classe sociale de la population, sa moyenne d’âge, ses possibilités économiques et surtout les conditions sanitaires des lieux. Il faut également tenir compte des médecins exerçant la même spécialité dans les localités environnantes. Puis, en tant que professionnel libéral, le médecin a le choix entre s’installer individuellement ou en groupe. S’il s’installe seul, il sera libre de fixer ses horaires et son mode opératoire. En contrepartie, il devra supporter à lui tout seul les charges liées à l’exercice de sa profession. Par contre, s’il décide de s’installer en groupe, les charges seront partagées entre les praticiens. Mais il en sera de même pour les bureaux et parfois le matériel. Une telle collaboration doit être déterminée par un contrat pour que chacun puisse connaître ses engagements et responsabilités.

Le matériel médical nécessaire

Qu’il s’installe en groupe ou individuellement, le médecin doit avoir l’équipement médical nécessaire pour recevoir ses patients. Du stéthoscope au simple ticket d’attente, en passant par le matériel médical pour le traitement d’urgence au papier à en-tête, chaque médecin doit être équipé de tout le matériel indispensable pour l’exercice de sa profession. C’est d’ailleurs pour cela que le site medicaffaires.com propose plusieurs matériels, des plus généraux aux plus spécifiques pour permettre aux médecins fraîchement diplômés d’exercer dans les meilleures conditions possibles. Par ailleurs, il devra également toujours avoir des stocks disponibles, surtout en ce qui concerne les matériels de stérilisation.

Ouvrir son cabinet, les formalités à accomplir

Avant d’ouvrir son cabinet médical, le médecin a l’obligation de s’inscrire au CFE, ou Centre de Formalité des Entreprises. Il est également possible de s’inscrire au Régime social des Indépendant RSI, à l’URSAFF (Union de Recouvrement des Cotisations de Sécurité Sociales et d’Allocations Familiales), ou tout simplement à l’administration fiscale. Par ailleurs, il est utile de rappeler qu’un médecin qui exerce en tant que professionnel libéral doit s’inscrire aux trois caisses qui sont le RSI, URSAFF et CIPAV pour Prévoyance et assurance vieillesse. Il lui est permis de souscrire à d’autres assurances privées notamment en cas de maladie, d’accident ou tout simplement en complément de retraite. Au-delà de la création du cabinet médical, le médecin praticien doit également ouvrir une ligne téléphonique professionnelle afin que ces patients puissent le joindre, ouvrir un compte bancaire et aussi se mettre en contact avec un imprimeur pour spécifier ses ordonnances. Enfin, il est également tenu de déclarer son fichier de patientèle à la CNIL ou Commission nationale de l’informatique et des libertés.
De tout ceci, il faut retenir que les démarches à suivre pour ouvrir un cabinet médical sont longues et assez complexes. Cela nécessite une certaine connaissance de la règlementation applicable. Pour cela, il est toujours recommandé de faire appel à un avocat pour réaliser les différentes procédures juridiques.

Eliminer les charlatans

Avec l’explosion de la chirurgie esthétique, de nombreux cabinets s’ouvrent à chaque coin de rue et tous se proclament chirurgien. Certains n’ont pas cependant la qualification nécessaire et sont même au début de leur première expérience. Pour être sur d’être en présence d’un chirurgien qualifié, il est donc conseillé de vérifier le nom du chirurgien dans la liste des spécialistes en chirurgie reconstructrice établie par le Conseil National de l’Ordre des Médecins. Cela doit être fait pour confirmer la qualification du chirurgien et ses 8 ans d’étude.
Il faut aussi miser sur la technique du bouche à oreille qui peut déjà dire long sur l’expérience du chirurgien et sur sa bonne ou mauvaise réputation. On peut donc demander plus de renseignements sur ses proches ou même sur les réseaux sociaux.

Privilégier la proximité

En ce qui concerne la chirurgie, il vaut mieux se faire opérer à 2 km de chez soi plutôt qu’à 500 km même si le chirurgien le plus médiatisé se trouve à l’autre bout du monde. Ceci permet de faciliter la consultation avant et après l’intervention chirurgicale, et de s’épargner les dépenses élevées des frais de déplacement qui pourraient peser lourdement le budget.

Eviter le tourisme opératoire

Une technique médicale très répandue, le tourisme opératoire comporte d’énormes risques. Les agences de tourisme médical n’offrent pas en effet les mêmes garanties de soin pré- et post-opératoires. La compétence des médecins, l’hygiène et la salubrité des établissements ne sont pas non plus assurés. Avant de recourir à cette alternative, il importe donc d’effectuer des examens approfondies sur les normes de l’établissement et sur les droits en cas de litige sur l’opération notamment les remboursements et la responsabilité de l’établissement. Le problème réside également sur le suivi post opératoire qui peut peser lourdement le budget avec les frais de déplacement.

C’est un fait ! Le niveau de fréquentation des pharmacies baisse, et ce, depuis quelques années en France. Les grands laboratoires pharmaceutiques ont beau créer des médicaments plus efficaces et moins risqués que jamais, aux yeux d’une grande partie de la population, c’est bien trop tard.

Les Français perdent confiance en leur médecin

Selon les sondages, la grande majorité des Français ne vont plus consulter leur médecin pratiquant. La qualité de service des hôpitaux ne les incite pas non plus à y prendre rendez-vous. Outre la cherté des consultations, les résultats obtenus sont loin de les convaincre. « En sortant de chez le médecin, on a toujours une ordonnance longue comme le bras » témoigne les habitants, alors qu’on y va pour un mal de tête. La question semble tarauder l’esprit de plus en plus de personne : « quel est le réel but des médecins modernes ? ». Il semble que ce soit simplement le placement de produit.
Pour les médecins, il s’agit d’un culte instauré par l’ancienne génération de patient. On n’avait l’impression d’aller voir un docteur sans avoir une ordonnance. Mais la nouvelle société voit les choses d’un autre œil.

Le prix des médicaments n’arrange pas la situation

Une liste de médicament passe encore si le prix était acceptable. Actuellement, pour vous soigner, vous aurez besoin de pas moins de 100 euros. Et la loi a encore changé les conditions de prise en charge de la mutuelle santé. Les remboursements sont plafonnés, ce qui oblige les patients à payer une grande partie des frais de leur poche.
Il est bien plus avantageux de se tourner vers les médecines parallèles telles que la phytothérapie. Les herboristeries proposent des traitements contre des maux de toutes sortes pour 20 euros. Le seul inconvénient de cette technique, selon les médecins, est l’automédication. Contrairement aux consultations classiques, les soins par les plantes ne traitent que les symptômes et non la source même de la maladie. Malgré tout, les particuliers persistent et signent. L’approche classique ne répond plus à leur attente. Surtout que les médicaments peuvent présenter plusieurs effets secondaires inconfortables et entrainer une certaine accoutumance.